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Le 20/11/2012, 01h10

Songeuse



Ce jour est date de grandes et moult réjouissances. Heureux anniversaire à :
- MiniFrez, ci-dessus songeuse (et ailleurs rassemblant les traces de ce qui la touche),
- Mathieu, mien filleul de son état,
- Thierry Coquelet, blogopote précieux et (au combien !) talentueux,
- Daniel, dit Titus, restaurateur, qui se reconnaitra si un jour il passe par ici.

Quatre d'un coup, c'est pas rien...



Et j'ajouterai : bienvenue à Noa et Théo, la nouvelle paire de jumeaux de Riri, apparue il y a moins de deux semaines :)



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Le 14/11/2012, 01h00

La vieillesse est un naufrage



Les images parlent d'elles-mêmes...

Et sinon, j'aime bien ce détail dans l'image ci-dessus :





Jubilation
Le mot est lâché, et il n'est pas trop fort. Car j'ai reçu mon "Wanted!".


Que de talent !

Ami, étranger, si tu aimes les caricatures et le chant de l'harmonica au petit matin au dessus des plaines du far west, ce livre est pour toi.




Le hasard, ou pas
L'autre dimanche, je finissais gentiment mon repas en écoutant d'une oreille distraite 13h15, le reportage du journal de France 2, le weekend. Ça parlait de français partis vivre leur rêve aux États-Unis (rapport aux élections présidentielles deux jours plus tard, je suppose). Sans rencontrer un succès fou, ils faisaient leur bonhomme de chemin, empreint d'une certaine réussite.

Parmi eux, une chanteuse, jolie brunette à la voix superbe, installée à New-York. J'entends son prénom au détour d'une bouchée : Marie.

Et là, comme dans les BD, les engrenages du cerveau se mettent à tourner : Marie, chanteuse, française à New-York... Ça ne serait pas la Marie Martin découverte chez Cali il y a quelques années ?

Vérification faite, oui, c'est bien elle. Elle poursuit effectivement un chemin riche de collaborations, a un projet d'album...

Je me suis souvent comparé les blogs dans leur période effervescente, et particulièrement celui de Cali, tant par la qualité de l'hôtesse que par celle des invités ou visiteurs fidèles, aux cafés littéraires du Montmartre de la fin du 19ième siècle, où des courants, des groupes apparaissaient et disparaissaient (je vous ai déjà parlé des Hydropathes), à cette richesse créative. Comme pour les blogs, tous les poètes ou écrivains de tavernes n'ont pas eu le destin de Verlaine, Maupassant, Sarah Bernhardt ou Charles Cros. Mais comme à l'époque, la créativité était là et on voit de temps en temps un nom, une tête connue émerger.


Le reportage peut être trouvé .




And the winner is...
Au petit jeu du post précédent (les noms d'impressionnistes à trouver dans le texte), Thierry a explosé toute tentative de concurrence. Impressionnant ! La solution est à voir dans les commentaires.

J'avais parlé d'un bonus introuvable. Il s'agissait de lire "Le cher homme..." en adepte de la langue de Goethe et d'y reconnaître Liebermann.

Je l'avais dit, introuvable :)



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Le 05/11/2012, 01h10

Impression soleil couché



Impressionniste, je ne sais pas trop, mais assez impressionnante quand même, la rue d'à côté...



Cherchons bien...
"Par ici la monnaie !" clame l'un des deux gars entrant dans l'agence, en nous calant le bout d'un flingue sous le pif. "Le premier qui résiste sera troudeballé". Dans un tel cas, tout le monde a les miquettes. On ne distingue pas un peureux noir d'un peureux vert. Et les employés, ces ânes, qui braient à n'en plus finir... Mais bouclez-là et qu'ils se tirent ! J'ai envie d'aller aux gogues, hein. Tiens ! D'un coup, v'la-t-y pas que j'repense à ce que mon pote Guillaume, un daron, dit tout le temps : "Debout devant gogues, pisse à robinet tendu, fils !" Le cher homme...

Alors que le premier s'assure de notre tranquillité, le second type, d'un couteau genre serpettes qu'on utilise en vannerie (celles bergamasques ne se faisant plus depuis longtemps), farfouille de l'autre côté du guichet. Mais le type aux manettes n'est visiblement pas une lumière. Rien dans la caboche, même. Crétin de base, il déclenche l'alarme en tentant d'ouvrir le tiroir caisse. Le temps de se retourner, les perdreaux sont là, flingue en pogne, et farcissent les deux gars de pruneaux plutôt indigestes quand ceux-ci tentent de se faire la belle. Les voilà bien morts, isolés et étendus sur la brocaille, bottes en avant. Ces deux-là, on ne les reprendra plus à effrayer l'bourgeois...



Celui ou celle qui trouve le plus de peintres impressionnistes dans le texte ci-dessus gagne... la première place, tiens. Allez ! Soyons fou !



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