<< Précédemment
Par la suite >>

Le 05/12/2006, 00h06

Allaitement




Moi, je t'offrirai des perles de pluie venues de pays où il ne pleut pas (habituellement)...

Après celui à Brassens, ce post aurait pu être un hommage à Brel, le grand Jacques. Mais, en fait d'hommage, cette oeuvre d'inspiration résolument moderne, dont le titre s'est imposé à moi une fois terminée, est avant tout... un dégât des eaux.

Il est des lois, qui découlent de celle de Murphy, que l'on pourrait en déduire, comme, par exemple :
Quand l'étanchéité d'un toit n'a jamais posé de problème, la refaire entraîne immanquablement des infiltrations.


Il en est tombé plus de 4 litres, comme ça...



- Pas de tag -
- Lien permanent vers cette note -
Le 05/12/2006, 00h06

Le temps ne fait rien à l'affaire




Quand ils sont tout neufs
Qu'ils sortent de l'œuf
Du cocon
Tous les jeunes blancs-becs
Prennent les vieux mecs
Pour des cons
Quand ils sont d'venus
Des têtes chenues
Des grisons
Tous les vieux fourneaux
Prennent les jeunots
Pour des cons
Moi, qui balance entre deux âges
J'leur adresse à tous un message

Le temps ne fait rien à l'affaire
Quand on est con, on est con
Qu'on ait vingt ans, qu'on soit grand-père
Quand on est con, on est con
Entre vous, plus de controverses
Cons caducs ou cons débutants
Petits cons d'la dernière averse
Vieux cons des neiges d'antan

...


Ca a fait 25 ans le mois dernier qu'a disparu Georges Brassens. Moi, comme un con, j'ai manqué l'événement, je suis passé à côté. Je l'ai appris quelques jours après, sur le blog du Chat Perçant. Petit clin d'oeil à l'artiste avec cette photo que je conservais par devers moi depuis quelques temps. ;-)


La complainte du gardien :
Dans mon réduis près de la porte, je rêve d'être à la mer.
Coincé tout contre l'huis, je me vois au bord d'elle.


- Pas de tag -
- Lien permanent vers cette note -
Le 29/11/2006, 00h35

Bientôt la saison des grippes...




Visite, cet été, des hospices de Beaune, endroit respectable, s'il en est, pour la dévotion dont les soeurs ont su faire preuve au services des malades, ainsi que pour la beauté du lieu. Ils eurent une apothicairie des mieux fournies du royaume et même peut-être au delà. Aujourd'hui, sans doute par malice, on y trouve, rassemblés sur une même étagère, les produits les plus étranges ou incongrus qu'elle ait contenus : éponges calcinées, colle de poisson, poudre de cloportes ou de castor, yeux d'écrevisses pilés, poudre de noix vomiques... Qui ne se sent pas bien ? On voit bien que les recettes des potions de nos contes de fées ne sont pas si farfelues que ça.


A propos de maladie, il arrive que l'art lui-même ne soit pas bien portant. Pourtant, si l'on s'en trouver affligé, la sagesse populaire nous dit de ne pas nous y arrêter. Comme dit le dicton : quand l'art est alité, dépasse l'affliction.



- Pas de tag -
- Lien permanent vers cette note -
<< Précédemment
Par la suite >>
Accueil du Café Rechercher au Café
Liens à suivre... Syndication ?Historique Une bafouille ? Nuage de tags