Le 26/02/2006, 21h32
La patronne fait des merveilles

Je sais, ça n'est pas très professionnel, mais nous avons bien entamé le stock. Nous mangeons le fond de commerce. Il en reste quand même quelques unes pour accompagner le plat du jour.
Anecdote : l'autre jour, dans le RER. Le train démarre. Un type, quelques places plus loin, à son portable : "Je viens de quitter Sartrouville". Je ne l'entends déjà plus, j'imagine la suite de la conversation : "Ca faisait quelques temps que ça n'allait plus. De toute façons, elle cuisinait mal. Et en plus, elle ne suçait même pas"... Une gare ? Oh, FreZ... Ca nous ramène directement à ce conseil que ma belle-mère donnait à ses filles : "mes chéries, un homme, ça se garde à la cuisine et au lit". Elle savait de quoi elle parlait, le sien courait après tant de jupons. Quand à moi, il faudra que je demande à mon père de me rappeler ses conseils pour garder une femme. Ils me sont sortis de la tête...
Ajout à la demande de Miss Lulu : la recette.
500 g de farine
150 g de beurre
4 ufs
10 g de sel
60 g de sucre
8 g de levure de boulanger
1 zeste d’orange râpé
1 cuillère à soupe de rhum
1 cuillère à soupe de lait
Sucre glace (ou sucre en poudre) pour saupoudrer
Mélanger la farine, le sucre, le sel et le zeste. Délayer la levure dans le lait tiède, incorporer la farine avec les ufs, le rhum et le beurre fondu. La pâte obtenue est ferme et rappelle par son aspect la pâte à pain. Laisser lever au moins 6 heures à température ambiante. Etaler la pâte, la découper et faire cuire les merveilles dans un bain d’huile pas trop chaud.
- Mots clés : Photo, Merveilles, Recette, Blabla - |
c'est comme dans les entretiens d'embauche, je me méfiais toujours des candidats qui disaient du mal de leur patron à outrance, ils auraient pu avoir le même comportement par la suite... on peut se séparer et rester respectueux envers l'autre. Sauf si on rencontre la Lady de liaison fatale ;p