Norma

Super hommage. Elle est très réussie ta Marilyn.

Msei › merci, camarade. Ton enthousiasme couvre largement le silence ambiant :D

très réussie, un chouette travail :)

Très jolie illustr' ! Toutes mes féloches ;0))

Lunaba › salut, la cigale. Ça gaze, dans ton sud ? Pas trop chaud ? Ca va être l'heure de l'apéro. Je te sers quelque chose ? :)

PPJ › féloches, féloches... il doit y avoir quelque chose à faire autour de ça... :)

Mais oui, dans le Sud Ouest, chez nous, c'est sympa quand on "fait loche", non ?

Tu fais loche ?
Y avait-il un fée loche au-dessus de ton berceau ?
Et sinon, j'ai cru comprendre qu'une loche était aussi une grosse limasse... mais ça, c'est du patois normand ;0)))

Mère de MiC › je dois avouer que je sèche : je ne connais pas cette expression... Elle veux dire ?

PPJ › j'étais effectivement plutôt sur la fée loches, généreusement pourvue. Si elle s'est penchée sur mon berceau, ça expliquerait bien des choses... :)

"loche" n'est pas seulement normand ! Chez nous aussi, c'est une limace et j'ai inventé l'expression qui n'existe pas à ma connaissance pour dire se vautrer dans son canapé, comater dans son divan, bullr dans son fauteuil, ou autre, bref, paresser paisiblement et sereinement - c'est une chose que je sais très bien faire.

super adorable ta Norma... touchante et troublante (:

Mère de MiC › ça marche. J'adhère :)

cali › merci. J'ai mis un bout de temps à choisir une photo qui ne collait pas à l'image de la pin-up. Sa fragilité apparente sur celle-ci était effectivement touchante.

Tu es tout de même un sacré bon dessinateur (en plus du reste) quand tu t'y mets. Qu'elle est belle ta Norma ! Certes, on n'oublie pas la Marylin qui est en elle (à moins que ce soit l'inverse, et que Marylin soit devenue la carapace de Norma Jeane), mais tu as bien su en faire un portrait doux, sensible et émouvant. Il est d'autant plus difficile de décrire une personne à travers un dessin que son visage est devenu une sorte d'icône, de stéréotype, voire de schéma.... Et tu es parvenu à éviter cet écueil en ne déviant jamais des dimensions humaines de ce visage. Chapeau bas, je m'incline.