Le 14/09/2011, 09h45
Crise de la dette des états

Endettement des états, effondrement des valeurs bancaires, fluctuations des marchés : tous les regards restent fixés sur les bourses... (avec certaines conséquences déconcertantes)*
Analyse de comptoir : le paradoxe de la fiscalité des riches
Je ne sais pas si vous y avez fait attention, mais le débat de "plus taxer les riches" conduit toujours aux deux conclusions suivantes :
- ça risque de provoquer un exil fiscal (ils vont se barrer à l'étranger, où ils seront moins taxés)
- ça ne sert pas à grand chose parce qu'ils ne sont pas très nombreux, et donc que ça rapportera très peu.
Mais alors, moi je dis : ben, si ça rapporte si peu, en quoi ça gène qu'ils partent à l'étranger ? Ça ne changera pas grand chose. Autant prendre le risque : de toutes façons, ils ne partiront pas tous...
Non, ils ne partiront pas tous, puisque certains d'entre eux, en France comme aux Etats Unis, ont commencé à le réclamer, ce surcroit d'impôts. Situation bien comprise : mieux vaut perdre un peu dans un coup de rabot fiscal que beaucoup dans un incendie social ou un maelström financier**.
Football de comptoir
L'OM gagne enfin ! Le Pirée t'évité...
Ouais, ok, ok... Allez ! Le café est pour moi. :)
* : répétition ? Ben oui, mais Gougueule indexe mal le texte des images :)
** : si l'aspect financier domine les craintes aujourd'hui, je ne suis pas sûr qu'à plus long terme, il soit le plus dangereux.
- Mots clés : Dessin, Blabla, Finance - |
C'est marrant quand même que le monde de la finance passe son temps à regarder les bourses, non? C'est un monde vachement masculin. Moi qui les pensais macho je fini par avoir des doutes :-). Mais pas de conclusion hâtive non plus.
J'aime bien ton syllogisme sur les riches ;-)
A+