Le 02/11/2010, 01h47
Fuel for life ?

Et vous, madame, quand il s'agit de donner la vie, que mettez-vous dans votre réservoir ? Où allez-vous faire le plein ?
Fuel for life, avec la fin des grèves, à nouveau disponible à la pompe.
Témoignage de madame M."Je n'aime pas faire la queue chez les petits pompistes, trop chers. Pour ne pas qu'il me coûte la peau des fesses, je vais chercher mon Fuel for life
directement au Sperme Archer*."
Les références de travail sont les publicités pour le parfum
Fuel for life de
Diesel : par exemple
ici,
là ou encore
là.
Le revers des choses (nouvelle)
Elle l'attira vers elle, défit sa ceinture, tira le zip de sa braguette et extrait sa queue du caleçon. Celle-ci ne bandait pas spécialement mais elle la pris en bouche et commença à la sucer. Il finira bien par jouir quand même.
Elle avait instauré ça comme un rite. Elle le suçait dès son retour, chaque fois qu'ils étaient séparés d'une demi-journée ou plus.
Lui avait adoré cette habitude naissante. Le cul, ça plait toujours à un mec, plus encore en début de relation. Alors, quand il tombe sur une fille folle de sa queue, c'est le bonheur.
Mais rapidement, il ne vit plus briller aucun désir amoureux dans ses yeux quand elle s'approchait de son pantalon. Pas plus d'ennui ni de résignation, d'ailleurs, mais juste un regard de méfiance. Et il n'y avait pas que le regard. Ses gestes qui lui avaient d'abord semblé tendres et joueurs étaient vite devenus impératifs, ne lui laissant guère le choix de refuser cette séance.
Il avait adoré puis avait fini par détester ces fellations forcées dont il ne comprenait pas le sens.
Elle n'aimait pas particulièrement le cul. C'était plutôt un passage obligé. Mais lui, il lui appartenait. Il était à elle et il était hors de question qu'il en soit autrement.
Il avait détesté se faire sucer ainsi. Mais devant la violence de ses réactions quand elle n'arrivait pas à lui tirer un semblant d'érection, il avait fini par comprendre la nature du sentiment qui l'animait, la profondeur de la jalousie qui lui bouffait les entrailles. Ce rituel n'avait d'autre objet pour elle que de se l'approprier. Non, mieux : si elle avait voulu le vider pour lui éviter d'avoir envie d'une autre, elle l'aurait pompé avant qu'ils ne se séparent. À son retour, elle prenait son sexe en bouche pour en vérifier le goût, pour s'assurer qu'il ne l'avait pas trempé dans une autre chatte, pas faite lécher par une autre langue, la queue de cet homme qui lui appartenait, cette queue qui était à elle. Il avait alors compris combien elle était à sa merci et il avait adoré ça.
Comme d'habitude, elle le suça sans y prendre d'autre plaisir que de retrouver dans sa bouche une verge insipide et, comme d'habitude, il finit par jouir du pouvoir immense qu'il avait sur elle...
* : genre Auchan ou Carrouf, pour ceux qui n'avaient pas tilté.